Pollution liée à de nombreux produits d'hygiène et d'entretien.
Avec les Composés Organiques Volatils (COV) comme le formaldéhyde, le benzène, le toluène et les xylènes … la qualité de l’air intérieur est mauvaise. En particulier à cause du formaldéhyde, polluant cancérigène omniprésent dans nos habitations. Ce composé chimique irritant et allergisant est aussi utilisé dans la plupart de produits ménagers en raison de ses propriétés biocides.
Nous passons environ 80 % de notre temps dans un espace fermé, que cela soit au travail, à la maison, à l’école, dans les magasins ou les transports. Cet air intérieur est bien plus pollué que l’air extérieur et peut entraîner plusieurs impacts sanitaires.
La bonne odeur de propre n’est pas toujours compatible avec une bonne qualité de l’air intérieur.
L'observatoire de la qualité de l’air intérieur (OQAI) s'est intéressé aux Composés Organiques Semi-Volatils présents dans les poussières, les produits d’entretien (alkylphénols), les matières plastiques (phtalates et bisphénol-A), les cosmétiques (muscs de synthèse) …
Les concentrations en aérosols organiques et en formaldéhyde augmentent systématiquement dans l’air intérieur lors de l’utilisation de produits d’entretien.
Aérer reste une priorité mais stopper l’utilisation de certains produits d’entretien toxiques permet d'éloigner cette forme de pollution.
L'hygiène est indispensable mais il nécessaire de:
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Privilégier des produits plus naturels.
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Diminuer les dosages et la consommation d'eau.
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Adapter le protocole existant avec les nouveaux paramètres.
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Favoriser un bio-nettoyage alliant peu de produit et apport de micro-fibres, petits matériels...
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Prendre en compte les gestes et postures favorisant aussi le bien-être des opérateurs.
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Diminuer de fait le poste budgétaire (moins de produits, moins d'eau, moins de rejets..)
En nettoyant il ne faut plus s’intoxiquer !
